Enquête d'action

Vous êtes au courant? Il y a une émission de télévision présentée par la chaîne W9 qui s'appelle: "Enquête d'action". Et figurez-vous qu'au cours de cette émission, le 20/01/2017 à 22h50, il se sont permis de prétendre des choses complètement contraires à ce qu'on nous explique régulièrement à la télévision française de notre beau pays. En effet, au cours de cette belle émission, on nous a montré des gens qui sont de plus en plus nombreux à culti

ver du cannabis chez nous, ainsi que dans les pays voisins. Jusque-là, me direz-vous, vous ne voyez aucune contradiction avec ce qu'on nous explique généralement. D'accord, moi non plus, mais un peu de patience, nous allons y arriver.

Entre ceux qui la jardinent pour leur consommation personnelle et ceux qui cultivent des centaines de pieds de cette plante, ce phénomène prend une ampleur qui donne une idée de l'énorme consommation qui est faite de cette drogue. Vous me direz encore que vous ne voyez rien là-dedans de contraire à ce qu'on nous a expliqué jusqu'à maintenant, et vous aurez à nouveau raison, mais cela prend quand même des proportions qui devraient peut-être commencer à nous inquiéter, alors qu'on continue à nous servir un discours rassurant en France, pendant que dans d'autres pays, le corps médical commence à considérer qu'il s'agit d'un problème de santé publique.  

Et, au cours de cette émission, un toxicologue nous a montré un paquet de dossiers inquiétants qui contredisent bel et bien, eux, ce qu'on nous explique généralement en France. En effet, ce sont les dossier de gens morts d'un arrêt cardiaque après avoir consommé de grosses quantités de cette drogue, car bien bien qu'inoffensive, plus elle est utilisée, plus elle fait de victimes mortelles par arrêt cardiaque, ce qui pourrait faire croire que cette drogue inoffensive n'est pas du tout inoffensive. Evidemment, on nous dira encore que si on utilise le cannabis de manière à ce que cela reste une drogue douce qu'on utilise doucement et modérément sans exagérer, ça ne fait pas grand mal. Oui, mais plus elle est autorisée, ou au moins tolérée, plus elle est banalisée, et plus elle est banalisée, plus elle est consommée, et plus elle est consommée, plus les amateurs recherchent ce qu'il y a de plus performant, donc de plus toxique, et plus ça fait de victimes, en plus de celles que font déjà les drogues enracinées dans nos traditions séculaires.

Avec le discours qu'on nous tient en France, on n'est pas loin de l'autoriser chez nous, alors que le cannabis fait de plus en plus de victimes, si bien qu'aux Pays Bas, premier pays européen où ce genre de drogues à été autorisé, ils sont en train de faire machine arrière depuis pas mal de temps, à cause des dégâts que cela à provoqué, avec des dérives vers des drogues de plus en plus dures, ce que je savais déjà depuis longtemps parce que je regarde régulièrement la télévision hollandaise. Tout cela était d'autant plus à prévoir que, comme vous pouvez le remarquer, l'absinthe, drogue douce qui a tué tant de monde à l'époque de Toulouse Lautrec, tue beaucoup moins de monde depuis que cet apéritif mortel n'est plus autorisé. N'est-ce pas? Tout ce que nous pouvons espérer, c'est que la nouvelle version légale beaucoup moins toxique ne poussera pas les amateurs à retourner à l'ancienne, produite et vendue en toute illégalité, ou servie dans les salles de shoot.Mais, forts de cette expérience, on se demande comment on a pu laisser nos maîtres à penser nous raconter tant de bobards rassurants et banalisants au sujet du cannabis et autres drogues prétendues douces.

Il me semble important, étant donné ce que j'explique ici, de vous conseiller de lire "La Touta" que je vous présente à nouveau. (Lisez ce texte et vous comprendrez) 

Je me demande si, par hasard, Coluche n'avait pas raison quand il disait: "Il paraît qu'on est cernés par les cons. C'est vrai, mais on se rend pas compte à quel point."

Régis Ducon Lajoie la marée Monte.

N'oubliez pas de venir chaque semaine voir ce que ce pôvre Régis vous a concocté. Faites-lui surtout de la PUB si vous aimez, et dénoncez-le le plus possible si vous n'aimez pas.

Bise