Macron maréchal de l'an pire

Vous êtes au courant? Quand on présentait les qualités d'une personne à Napoléon, dans le but de confier un poste dans l'armée à cette personne, quelques fussent ses qualités, Napoléon demandait si cette personne avait aussi de la chance. Et ces personnes chanceuses devinrent les maréchaux de l'empire. L'enchaînement des évènements qui émaillèrent le règne de notre beau petit président bien aimé, m'a conduit à conclure que le Macron aurait certainement eu la chance qu'il fallait pour devenir maréchal de l'empire. Et, finalement, la France aurait eu la chance, ou la malchance, qu'il mourût en héros.

En effet, à peine élu, alors qu'il évoluait devant les caméras, il alla vertement invectiver un adolesccent parce que ce dernier venait de crier sur son passage, d'une manière plutôt sympathique: "Salut Manu!" Et il semble que l'ensemble des Français ne l'ait pas pour autant pris pour un sale petit trou du cul prétentienx, le Macron, dont l'arrogance n'a d'égale que sa bêtise. Ce n'est pas un coup de chance, ça? Et, arrivé au bon moment parce que les syndicats avaient beaucoup perdu de leur force, il parvint à imposer des réformes que personne n'aurait pû imposer jusque là, compte tenu de la conjoncture précédente. Ce n'est pas un coup de chance, ça? Et après ça, il tint des propos tellement arrogants, que cela remit les syndicats dans la course. Ce n'est pas de l'arrogante stupidité, ça? Oui, mais la crise des gilets jaunes qu'il a maladroitement provoquée, fit oublier ses arrogances à l'égard des syndicats et la crise qu'il venait de provoquer avec eux. Pas vrai? Ce n'est pas de la chance, ça? Et ce n'est pas tout!

Après ça, alors qu'il pataugeait lamentablement en essayant de noyer le poisson d'une manière aussi stérile qu'onéreuse pour le contribuable, sans rien comprendre à ce mouvement des gilets jaunes et sans rien résoudre, voilà la crise sanitaire qui fit oublier cette crise des gilets jaunes, tout autant que l'incompétence présidentielle qui avait provoquée cette crise, qui suivait les précédentes qu'il avait déjà provoquées. Ce n'est pas encore de la chance, ça? Et là, face à la crise sanitaire, pour nous faire avaler un ensemble de mesures totalement inadaptées, ajoutant la malhonnêteté à l'incompétence, il nous gratifia d'un tas de mensonges d'Etat tout autant inoubliables qu'impardonnables. Mais nous les avons oubliés quand même, ces mesures inoubliables et impardonnables, grâce à la durée de cette crise interminable et à ce qui se passa dans d'autres pays. Oui, les mesures inadaptées et les mensonges impardonnables, on en parle bien peu, de nos jours. Pas vrai? Ce n'est pas de la chance, ça? Et il y en a tellement eu, que je n'arrive même pas à me souvenir de tout ce que je voudrais rappeler. 

Et maintenant, alors que le moment serait venu de faire le bilan de son mandat et de rappeler toutes ces turpitudes, voilà que la guerre en Ukraine éclate, alors que c'est son tour d'être président de l'Union Européenne, et cela fait oublier tout ce qui précède et entrave sérieusement ses riveaux. Ce n'est pas encore et toujours de la chance, ça? Ce n'est pas une chance de cocu? Je vous pose la question. En tout cas, si j'étais à sa place, je surveillerais madame Macron. 

Je me demande si, par hasard, Coluche n'avait pas raison quand il disait; "Il paraît qu'on est cernés par les cons. C'est vrai, mais on se rend pas compte à quel point."

Régis Ducon Lajoie la Marée Monte

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Bise